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xL'étude, menée par l'Institut néo-zélandais pour la recherche économique, met en lumière que la plupart de ces femmes considèrent que leurs capacités de travail sont réduites de 20 à 30 % en raison des symptômes liés à la ménopause.
Parmi ces symptômes, la perte de concentration et le brouillard cérébral sont les plus fréquemment signalés, avec une femme sur quatre estimant que sa capacité de travail est réduite de moitié.
Cette étude représente la première analyse approfondie de l'impact de la ménopause sur l'engagement économique des femmes en Nouvelle-Zélande. Son objectif est d'identifier des moyens pour mieux soutenir le bien-être et la productivité des femmes pendant cette phase de leur vie.
Bien que des données internationales suggèrent que la ménopause peut significativement influencer le travail des femmes, l'étude montre que plus de la moitié des femmes interrogées n'ont jamais abordé le sujet de la ménopause, de la périménopause ou de leurs expériences professionnelles, et seulement 11% ont eu le courage d'en discuter avec leur employeur.
Face à ces symptômes gênants, les trois quarts des femmes qui en souffrent au travail essaient de s'adapter en recourant au télétravail, en adoptant des horaires flexibles, et en réduisant leurs heures de travail.
L'étude souligne un écart significatif entre les préoccupations des femmes et la perception de leurs employeurs.